Rendez-vous samedi au Stade Gerland
jeudi 28 février 2013
mercredi 27 février 2013
Documentaire - "Au fond des bois dormants"
L'Association Des Droits au But, la commission femmes de SUD EDUC et le cinéma l'Univers vous présentent en avant-première "AU FOND DES BOIS DORMANTS" un documentaire de 52 minutes sur l'équipe féminine du quartier des Bois Blancs à Lille.
lundi 25 février 2013
dimanche 24 février 2013
Entrée à la pause
Les Lyonnaises s’imposent facilement face à Guingamp 5-1 qui a baissé physiquement en seconde période.
Après 20 premières minutes difficiles et des Guingampaises bien en place. L’OL a ouvert le score par l’intermédiaire de l’Américaine Megan Rapinoe. Sur un centre de Le Sommer, Rapinoe contrôle de la poitrine et enchaine une frappe du droit qui fait mouche. La gardienne de Guingamp touche le ballon mais ne peut éviter l’ouverture du score. Ce but n’a pas forcément mis en confiance l’équipe lyonnaise. Les joueuses de Patrice Lair peinent dans la finition face à de vaillantes bretonnes. Le score n’évolue pas avant la mi-temps. Largement au-dessus physiquement et techniquement l’OL doit se régler pour faire définitivement la différence en seconde période.
En seconde période, l’OL est toujours aussi perturbé par le bloc guingampais. Louisa Necib a fait son entrée à la pause, elle est très remuante et va être à l’origine du deuxième but des Lyonnaises. Sur une ouverture en profondeur côté droit de Necib, la gardienne de Guingamp juge mal la trajectoire du ballon et Schelin peut en profiter en centrant devant le but, Thomis n’a plus qu’à pousser le ballon au fond des filets. Les Lyonnaises enfoncent le clou à la 64ème minute sur un corner repris en 2 temps de la tête par Wendie Renard. L’OL a pris le pas physiquement sur les 5èmes du championnat. A partir de la 70ème minute, le match est à sens unique et Schelin va ajouter 2 nouveaux buts pour corser l’addition. Guingamp sauve l’honneur dans les ultimes minutes avec un but de Ngono Mani.
Composition OL : Bouhaddi - Franco, Viguier, Renard, Dickenmann (puis Majri 70’) - Abily, Rapinoe (puis Thomis 54’), Henry – Tonazzi (puis Necib 45’), Schelin, Le Sommer
Buts OL : Rapinoe (20’), Thomis (55’), Renard (64’), Schelin (74’, 76’) pour l’OL, Ngono Mani (88’) pour Guingamp.
vendredi 22 février 2013
jeudi 21 février 2013
mercredi 20 février 2013
WOIPPY FC 0 - 16 OLYMPIQUE LYONNAIS
Rencontre terminée par 16 buts à 0 : Ohno, Abily, Thomis, Le Sommer, Schelin, Henry (x2), Viguier (x2) et Tonazzi (x6)
Tirage pour les 8èmes finales de la Coupe de France
- VGA Saint-Maur (D2) - Claix Football (D1)
- Olympique Lyonnais (D1) - ASJ Soyaux Charente (D1)
- AS Saint-Etienne (D1) - Toulouse FC (D1)
- Rodez Aveyron Football (D1) - Montpellier HSC (D1)
- Compiègne USCO (D1) - EA Guingamp (D1)
- Val d'Orge FCF (D1) - Hénin-Beaumont FCF (D1)
- Paris-Saint-Germain FC (D1) - Juvisy FCF (D1)
- Yzeure Allier Auvergne (D1) - Vendenheim FC (D1)
mardi 19 février 2013
Ecart creusé et repos forcé
© Getty Images
Ce week-end, plusieurs championnats féminins ont subi la rude loi de l’hiver. Quatre rencontres de Bundesliga ont dû être annulées, tandis que de l’autre côté du Rhin, trois matches de Coupe de France, dont le duel entre Woippy et l’Olympique lyonnais, n’ont pu se dérouler.
En revanche, les championnats suisse et espagnol n’ont subi aucune interruption forcée. FIFA.com revient sur les temps forts du week-end dans le football féminin.
France : Lyon devra patienter
En Coupe de France, le mauvais temps a joué un mauvais tour à l’Olympique lyonnais. Le seizième de finale prévu entre les Rhodaniennes et Woippy a été reporté au 20 février. Pour sa part, le Paris Saint-Germain a validé son billet pour les huitièmes de finale. Le club de la capitale s’est qualifié à la faveur d’un net succès (6:0) devant Tours, grâce à des buts de Kenza Dali, Kheira Hamraoui, Shirley Cruz (3) et Laure Boulleau. Montpellier et Juvisy peuvent également envisager sereinement le tour suivant. Les Héraultaises ont infligé un lourd 9:0 à l’ASPTT Albi, tandis que les Franciliennes dominaient l’U.S. Saint-Malo 7:0. Les huitièmes de finale de la Coupe de France auront lieu le 24 mars prochain.
En Coupe de France, le mauvais temps a joué un mauvais tour à l’Olympique lyonnais. Le seizième de finale prévu entre les Rhodaniennes et Woippy a été reporté au 20 février. Pour sa part, le Paris Saint-Germain a validé son billet pour les huitièmes de finale. Le club de la capitale s’est qualifié à la faveur d’un net succès (6:0) devant Tours, grâce à des buts de Kenza Dali, Kheira Hamraoui, Shirley Cruz (3) et Laure Boulleau. Montpellier et Juvisy peuvent également envisager sereinement le tour suivant. Les Héraultaises ont infligé un lourd 9:0 à l’ASPTT Albi, tandis que les Franciliennes dominaient l’U.S. Saint-Malo 7:0. Les huitièmes de finale de la Coupe de France auront lieu le 24 mars prochain.
Allemagne : Potsdam et Francfort se rapprochent
La lutte pour le titre a connu un nouveau rebondissement. Pour cause de match annulé, le VfL Wolfsburg n’a pu augmenter son avance en tête du championnat. Le Turbine Potsdam, champion sortant, en a profité pour réduire son retard sur les Wölfinnen en allant s’imposer 3:1 chez le SC Fribourg. Ada Hegerberg, Pauline Bremer et Yuki Ogimi ont fait trembler les filets pour les visiteuses. Carmen Höfflin a sauvé l'honneur côté Fribourg.
La lutte pour le titre a connu un nouveau rebondissement. Pour cause de match annulé, le VfL Wolfsburg n’a pu augmenter son avance en tête du championnat. Le Turbine Potsdam, champion sortant, en a profité pour réduire son retard sur les Wölfinnen en allant s’imposer 3:1 chez le SC Fribourg. Ada Hegerberg, Pauline Bremer et Yuki Ogimi ont fait trembler les filets pour les visiteuses. Carmen Höfflin a sauvé l'honneur côté Fribourg.
De son côté, le FFC Francfort a également décroché trois points, accentuant ainsi sa pression sur le leader. L’équipe de Philipp Dahm a remporté une courte victoire face au SGS Essen grâce à un but de sa recrue hivernale, la Danoise Lise Overgaard Munk. Ce succès permet au club de la Hesse de conforter sa troisième place et de continuer à viser une place en Ligue des champions féminine de l’UEFA.
Le podium : VfL Wolfsburg (29 points), Turbine Potsdam (28), 1. FFC Francfort (25)
Suisse : Zurich garde le capLe FC Zurich a poursuivi son irrésistible série lors de la quinzième journée. Victorieuses du FC Yverdon Féminin 6:2, les Zurichoises sont toujours invaincues. L’ancienne internationale allemande Inka Grings a réussi un quadruplé, Selina Zumbühl et Fabienne Humm complétant la marque. Avec 45 points, le FC Zurich domine largement les débats. Le BSC Young Boys et le FC Bâle suivent à bonne distance. Les Bernoises ont dominé le SC Schwyz 6:0, tandis que les Baloises s’imposaient 4:0 devant le FC Staad. Défait 1:2 par le Grasshopper-Club Zürich, le SC Kriens abandonne la troisième marche du podium à Bâle.
Le podium : FC Zurich (45), Young Boys (32), FC Basel (24)
Espagne : La lutte à trois se poursuit
Le trio de tête n’a pas faibli lors de la 21ème journée. L’Athletic Club, solide leader, s’est imposé 4:0 à domicile face à Levante. L'Atlético de Madrid n’a pas été en reste en signant une impressionnante victoire 6:1 devant Lagunak. Les Madrilènes confortent ainsi leur deuxième place et restent au contact du leader. Vainqueur de Valence 3:0, le FC Barcelone a fait le nécessaire pour ne pas laisser s'échapper le duo de tête.
Le trio de tête n’a pas faibli lors de la 21ème journée. L’Athletic Club, solide leader, s’est imposé 4:0 à domicile face à Levante. L'Atlético de Madrid n’a pas été en reste en signant une impressionnante victoire 6:1 devant Lagunak. Les Madrilènes confortent ainsi leur deuxième place et restent au contact du leader. Vainqueur de Valence 3:0, le FC Barcelone a fait le nécessaire pour ne pas laisser s'échapper le duo de tête.
Le podium : Athletic Club (54), Atlético de Madrid (50), FC Barcelone (49)
(FIFA.com)
lundi 18 février 2013
Plus de 5000 vues sur le site ... Merci! Rendez-vous pour GUINGAMP - OLYMPIQUE LYONNAIS
Tu y seras le 23 pour accueillir les Lyonnaises parce que ..."... tu as déjà répété des milliers de fois : « Tu sais que Guingamp fait 8000 habitants et le Roudourou a 18 000 places ? Dingue, hein ? » Ça fait toujours son petit effet."
TFC, RODEZ et MONTPELLIER qualifiés en 8ème Coupe de France
TFC 2 - MONTEUX 1
MT :2-0. Arbitre : Mlle Ily assistée de MM. Antonio et Samir.
Pour le TFC : M.-A. Kramo (6), Chatelin (45).
Pour Monteux : Vayson (82).
TFC (D1) : Garcia - Kerrache (Vincent, 72), M.-J. Kramo, Ritter, Arcambal, Margaretta, Chatelin, M.-A. Kramo, Cervera (Bonnin, 62), Rouzies (Benlazar, 72), Chanudet. Entr. : Soraya Belkadi.
MONTEUX (D2) : Dumas - Firly, Guilpin, Thomas, Vayson, Saulnier, Buchaca (Ramel, 74), Couffin, Koriba (Gaillardet, 59), Cambursano, Mazzula Cundari. Entr. : O. Goutard. Avertissement : Saulnier (40).
VALENCE 0 - RODEZ 5
MT : 0-1. Arbitre : Aurélie Efe.
Pour Rodez : Cance (35), Perthuis (50, 74), Augis (71, 86).
VALENCE : Moulin - Tarantino (De Araujo, 11), Pesenti, Chanson, Bouniot, Veyrier (cap), Renault (Kirchner, 65), Chaudanson, Lommelais (Dibari, 57), De Araujo, Bendaoud. Entr.: M. Debusscher.
RODEZ : Fabries - Guitard, Haupais, Ginestet, Buscaylet, Vaysse, Cance, Farrugia (Bouvinet, 46), Liaigre, Lemaître (cap) (Augis, 65), Perthuis (Samso, 74). Entr. : Elodie Woock.
MONTPELLIER 9 - ALBI 0
MT : 7-0. Arbitre : Manuéla Nicolosi.
Pour Montpellier : Asseyi (11, 24, 39), Lattaf (13, 33), Diguelman (18), Lavogez (40), Ramos (58, 87).
MONTPELLIER : Durand - Viana (Plaza, 52), Torrent, Meilleroux, Lattaf, Lavogez, Utsugi, Asseyi (De Revière, 52), Ramos, Pervier (cap) Gadéa, 75), Diguelman. Entr. : Sarah M'Barek.
ASPTT ALBI : Saint-Jours - Gazzin (Fabre, 46), Bornes, Plautin, Perrier, Royer (Sow, 61), Pestana, Laizet-Laplagne, Girard, Peruzzetto (cap), Moreau (Gouineau, 46). Entr. : Daniel Sutra.
samedi 16 février 2013
FC WOIPPY - OLYMPIQUE LYONNAIS reporté à mercredi 20 février
Le 1/16 de finale de Coupe de France féminine qui devait se disputer dimanche (15h00) a été reporté pour cause de terrain impraticable.
La rencontre entre le FC Woippy (DH) et l'OL féminin ne se disputera pas ce dimanche. La pelouse du Stade André Delaitre qui devait accueillir ce 1/16 de finale de Coupe de France est recouverte d'une épaisse couche de neige. Embêtant pour les Lyonnaises qui ont déjà vu leur match de championnat à Vendenheim annulé. Il faudra donc trouver des dates dans un calendrier chargé pour jouer ces deux rencontres dans le nord-est de la France.
Pour compenser le manque de compétiton, Patrice Lair a prévu une opposition samedi matin (9h30) et un entraînement supplémentaire dimanche matin.
vendredi 15 février 2013
Trois bleues à la loupe
Pas mal critiquée après ce résultat nul, l’Équipe de France réalise tout de même une bonne performance face à la deuxième nation au classement FIFA. Nous avons revu le match pour finalement faire ressortir trois joueuses du lot : une attaquante montpelliéraine, une milieu lyonnaise et une défenseuse parisienne.
Efficacité
Certains la trouve paresseuse voire inutile au front de l’attaque française, mais les statistiques de Marie-Laure Delie parlent pour elle : 43 réalisations en 53 sorties... Qui dit mieux ? Comme contre l’Angleterre le 20 octobre dernier, Delie a profité d’une erreur de la gardienne pour offrir le deuxième but de la rencontre à Louisa Necib (22e). Alors oui la gardienne allemande (pas très en jambe hier il faut bien le dire) a commis une erreur, mais les efforts de la Montpelliéraine dans le replacement sont redoutables. Á la 40e minute, son pressing sur Nadine Kessler est à deux doigts d’être payant. Même chose deux minutes plus tard sur une passe mal appuyée à sa gardienne de Kessler toujours, l’attaquante française passe à un cheveu de l’interception qui aurait pu conduire à un face à face avec la portière allemande. Sa bonne vision du jeu et son sens de l’anticipation seront finalement récompensés à la 52e minute grâce à une interception sur une passe trop molle de Saskia Bartusiak, l’attaquante tricolore ne tremble pas et trompe la gardienne pour donner un avantage confortable à son équipe. Au final, Delie n’aura frappé que deux fois au but, deux frappes cadrées pour une réalisation et un pressing payant qui amènera un but. Si toutes les joueuses pouvaient être discrètes comme ça et marquer pratiquement à tous les matches, on signerait tout de suite en bas de la page.
Souvent mise sur un piédestal, parfois trop haut (la Zidane féminine...), il faut bien reconnaître que sur ce match là Louisa Necib a été excellente ! La Lyonnaise était au four et au moulin dans cette rencontre. Au pressing tout d’abord, c’est elle qui vient mettre la pression sur Babett Peter à la 22e minute, une pression qui entraînera le second but des Bleues. On l’a beaucoup vu à la récupération au milieu de terrain, à la passe également avec Eugénie Le Sommer parfaitement servie dans la profondeur à plusieurs reprises, en témoigne le très beau une-deux à la 9e minute qui aurait pu être décisif si le centre de Le Sommer avait été plus précis. Et que dire de ce bijou à la 15e minute ? Magnifique inspiration de la Lyonnaise qui voit la gardienne avancée avant de placer une merveille de lobe imparable. C’était voulu en plus alors que demander de plus ! C’est encore elle qui vient crucifier la gardienne sur le second but, certainement pas le plus dur de sa carrière mais il n’était pas non plus tout fait contrairement à ce que l’on pourrait penser. Au final, Louisa Necib nous a offert une première période de très haut niveau avec ce doublé notamment, avant de s’effacer légèrement en seconde, un peu à l’image de l’ensemble de l’Équipe de France.
Sérénité
Encore contestée par certains du fait de l’absence de Sonia Bompastor, force est de constater que Laure Boulleau réalise de bonnes prestations avec l’Équipe de France, la rencontre d’hier ne fait pas exception à la règle. La Parisienne a surtout été précieuse défensivement et ce dés la 3e minute. Après une perte de balle d’Abily au milieu de terrain, c’est bien Laure Boulleau qui sauve les meubles en enlevant un ballon chaud des pieds de l’attaquante allemande Okoyino da Mbabi. Ce n’est qu’une de ses nombreuses interventions décisives, on notera que sur les 3 corners allemand de la première période, c’est elle qui écartera deux fois le danger de la tête au premier poteau. La Parisienne est également à l’origine de la seule vraie occasion française de la rencontre (dur quand on a marqué trois fois…), sa longue ouverture millimétrée à la 30e minute trouve parfaitement Marie-Laure Delie en profondeur pour une frappe malheureusement trop écrasée. Pour finir, c’est encore elle qui écartera le danger en gagnant son duel après que la frappe de Okoyino da Mbabi ait touché la barre transversale dans les arrêts de jeu. Plutôt propre dans ses relances, Laure Boulleau a réalisé une bonne prestation bien que légèrement dépassée sur le premier but allemand. En revanche, on ne l’a presque pas vu offensivement, il a fallu attendre la deuxième période (46e) pour voir son premier centre venu de la gauche, le seul de ce côté en 94 minutes.
Brèves d'après-match
Michel Platini (photo A Massardi/les-feminines.fr)
HOMMAGE.
Un hommage a été consacré à Marilou Duringer à l'issue du match. L'occasion de récompenser des années de dévouement au service de la cause féminine dans le football. Elle a aussi donné le coup d'envoi fictif.
MEME PAS CAP !
830 sélections françaises à 477. On peut dire que les Bleues avaient plus d'expérience sur ce point-là au coup d'envoi.
LE FRANCE - BRESIL DU 6 MARS SUR FFF.FR ?
Non diffusé par D8, la première rencontre amicale entre la France et le Brésil, le mercredi 6 mars à 18h30 pourrait être diffusée sur le site Internet de la FFF comme cela est fait avec Visiofoot pour le championnat national et depuis quelques mois pour les sélections de jeunes. Ce serait en tout cas une première pour les Bleues.
MICHEL PLATINI PRESENT
Le Président de l'UEFA a assisté au match depuis la tribune d'honneur. De mémoire de journalistes, c'est la première fois qu'il assistait à un match de l'équipe de France féminine. Dans les travées de la Meinau, on a aussi reconnu Noël Le Graët, Marc Keller, Joël Muller ou encore Willy Sagnol.
.
BILAN EQUILIBRE A LA MEINAU
Après avoir connu une défaite en 1995 contre les Etats-Unis (0-3) à la Meinau puis un succès 4-1 contre la République tchèque en 2002, la France a équilibré son bilan par un match nul 3-3 contre l'Allemagne. Du coup, les Bleues ont une victoire, un nul et une défaite dans ce stade, 7 buts marqués pour autant d'encaissés !
Un hommage a été consacré à Marilou Duringer à l'issue du match. L'occasion de récompenser des années de dévouement au service de la cause féminine dans le football. Elle a aussi donné le coup d'envoi fictif.
MEME PAS CAP !
830 sélections françaises à 477. On peut dire que les Bleues avaient plus d'expérience sur ce point-là au coup d'envoi.
LE FRANCE - BRESIL DU 6 MARS SUR FFF.FR ?
Non diffusé par D8, la première rencontre amicale entre la France et le Brésil, le mercredi 6 mars à 18h30 pourrait être diffusée sur le site Internet de la FFF comme cela est fait avec Visiofoot pour le championnat national et depuis quelques mois pour les sélections de jeunes. Ce serait en tout cas une première pour les Bleues.
MICHEL PLATINI PRESENT
Le Président de l'UEFA a assisté au match depuis la tribune d'honneur. De mémoire de journalistes, c'est la première fois qu'il assistait à un match de l'équipe de France féminine. Dans les travées de la Meinau, on a aussi reconnu Noël Le Graët, Marc Keller, Joël Muller ou encore Willy Sagnol.
.
BILAN EQUILIBRE A LA MEINAU
Après avoir connu une défaite en 1995 contre les Etats-Unis (0-3) à la Meinau puis un succès 4-1 contre la République tchèque en 2002, la France a équilibré son bilan par un match nul 3-3 contre l'Allemagne. Du coup, les Bleues ont une victoire, un nul et une défaite dans ce stade, 7 buts marqués pour autant d'encaissés !
Pas de but entre Espagnoles et Danoises
MANCHES COURTES
Malgré les trois degrés ambiants, deux Tricolores avaient opté pour les manches courtes : Corine Franco et Sandrine Soubeuyrand.
DEUX RESCAPEES
Il y avait deux joueuses présentes lors des deux dernières sorties des Bleues à La Meinau (en 2002 et 2013). Il s'agissait de Sandrine Soubeyrand et Laëtitia Tonazzi.
ET QUATRE NULS
Après l'Angleterre et les Pays-Bas, la France a concédé deux matchs nuls face à l'Allemagne soit quatre consécutifs ! Un record pour les Bleues
UN ARBITRE CANADIEN ?
Ne vous y détromper pas, même si rare seront ceux qui y auront prêtés attention, mais le nom de l'arbitre du match indiqué dans le quotidien L'Equipe est un jeu de mots subtil : D. STRAUSS (CAN)...
L'ESPAGNE ET LE DANEMARK DOS A DOS
Les Espagnoles accueillaient le Danemark, mardi soir à Las Rozas, Centre du football espagnol. Une rencontre qui pouvait d'ailleurs être suivie sur Internet et qui a vu les deux équipes se séparées sur un match nul et vierge (0-0). Les Bleues retrouveront l'Espagne le 15 juillet prochain lors de l'Euro.
Espagne : Pons (Gallardo 46'), Nicolau (Vilanova 71'), García, Nagore Calderón (Torrejón 71'), Priscila Borja (Corredera 46'), Boquete, Adriana Martín (Landa 81'), Meseguer (Losada 46'), Ibarra (Vázquez 81'), Hermoso, Paredes.
Danemark : Petersen, Hansen, Pedersen (Thorsen 79'), Jensen, Nielsen, Christiansen, Harder (Hovesen 63'), Nadim (Troelsgaard 63'), Rasmussen (Orntoft 83'), Brogaard (Veje 46'), Pedersen.
Arbitre : Marta Frías Acedo (ESP)
Malgré les trois degrés ambiants, deux Tricolores avaient opté pour les manches courtes : Corine Franco et Sandrine Soubeuyrand.
DEUX RESCAPEES
Il y avait deux joueuses présentes lors des deux dernières sorties des Bleues à La Meinau (en 2002 et 2013). Il s'agissait de Sandrine Soubeyrand et Laëtitia Tonazzi.
ET QUATRE NULS
Après l'Angleterre et les Pays-Bas, la France a concédé deux matchs nuls face à l'Allemagne soit quatre consécutifs ! Un record pour les Bleues
UN ARBITRE CANADIEN ?
Ne vous y détromper pas, même si rare seront ceux qui y auront prêtés attention, mais le nom de l'arbitre du match indiqué dans le quotidien L'Equipe est un jeu de mots subtil : D. STRAUSS (CAN)...
L'ESPAGNE ET LE DANEMARK DOS A DOS
Les Espagnoles accueillaient le Danemark, mardi soir à Las Rozas, Centre du football espagnol. Une rencontre qui pouvait d'ailleurs être suivie sur Internet et qui a vu les deux équipes se séparées sur un match nul et vierge (0-0). Les Bleues retrouveront l'Espagne le 15 juillet prochain lors de l'Euro.
Espagne : Pons (Gallardo 46'), Nicolau (Vilanova 71'), García, Nagore Calderón (Torrejón 71'), Priscila Borja (Corredera 46'), Boquete, Adriana Martín (Landa 81'), Meseguer (Losada 46'), Ibarra (Vázquez 81'), Hermoso, Paredes.
Danemark : Petersen, Hansen, Pedersen (Thorsen 79'), Jensen, Nielsen, Christiansen, Harder (Hovesen 63'), Nadim (Troelsgaard 63'), Rasmussen (Orntoft 83'), Brogaard (Veje 46'), Pedersen.
Arbitre : Marta Frías Acedo (ESP)
AUTRES MATCHS
ETATS-UNIS - ECOSSE : 3-1 (1-0) (Megan Rapinoe 21', Abby Wambach 51', Christen Press 64' ; Suzanne Grant 81')
BELGIQUE - AUTRICHE : 2-0 (0-0) (Tessa Wullaert 46', Cécile De Gernier 70' s.p.)
CHYPRE - GRECE : 1-3 (1-1)
A noter qu'Abby Wambach a fêté sa 200e sélection dans cette deuxième rencontre amicale face à l'Ecosse (la première le 9 février avait été remportée 4-1). La Lyonnaise Megan Rapinoe a ouvert le score pour ce second match.
ETATS-UNIS - ECOSSE : 3-1 (1-0) (Megan Rapinoe 21', Abby Wambach 51', Christen Press 64' ; Suzanne Grant 81')
BELGIQUE - AUTRICHE : 2-0 (0-0) (Tessa Wullaert 46', Cécile De Gernier 70' s.p.)
CHYPRE - GRECE : 1-3 (1-1)
A noter qu'Abby Wambach a fêté sa 200e sélection dans cette deuxième rencontre amicale face à l'Ecosse (la première le 9 février avait été remportée 4-1). La Lyonnaise Megan Rapinoe a ouvert le score pour ce second match.
jeudi 14 février 2013
Ah bon, une fille ça joue au foot?
Comme on se retrouve. 3 mois après s’être quittées sur un match nul, la France et l’Allemagne se croisaient à Strasbourg pour en découdre une nouvelle fois. Avant de se confronter au Brésil, les Bleues ont assuré l’essentiel en tenant en échec la Mannschaft. Les filles de Bruno Bini ont su défendre intelligemment préférant laisser le jeu aux Allemandes. Au final, le milieu français inquiète, mais le talent individuel de Louisa Nécib fait la différence. Côté Allemand, les erreurs de la défense mais surtout de la gardienne ont offert aux Françaises deux buts. Capable d’accélérer en attaque, la deuxième période fut un véritable combat entre les velléités d’outre-Rhin et le pressing français. Les Bleues restent invaincues. C’est le principal.
Les compositions :
• France : Bouhaddi (26) – Franco (7), Georges (4), Renard (2), Boulleau (3) – Abily (10), Soubeyrand (6), Le Sommer (9), Necib (14), Thiney (17) – Delie (18)
• Allemagne : Schult (21) – Peter (4), Bartusiak (25), Krahn (5), Schmidt (2) – Kulig (14), Kessler (23), Marozsan (10), Mittag (31), Faisst (15) – Okoyino Da Mbabi (13)
• France : Bouhaddi (26) – Franco (7), Georges (4), Renard (2), Boulleau (3) – Abily (10), Soubeyrand (6), Le Sommer (9), Necib (14), Thiney (17) – Delie (18)
• Allemagne : Schult (21) – Peter (4), Bartusiak (25), Krahn (5), Schmidt (2) – Kulig (14), Kessler (23), Marozsan (10), Mittag (31), Faisst (15) – Okoyino Da Mbabi (13)
Une attaque allemande organisée
Avec la blessure d’Élise Bussaglia, le milieu de terrain français est le même depuis maintenant plusieurs rencontres. Sandrine Soubeyrand et Camille Abily forment la doublette française dans ce 4-2-3-1 (ou 4-2-1-2-1 par moment). Plus n°10 que n°6, la Lyonnaise reste très reculée en Équipe de France. Alors que depuis le début de saison, Louisa Nécib joue en milieu offensive reculée (une n°8 offensive), la « clutch » player occupe une place de n°10, une élection libre dont la mission est d’animer le jeu offensif des bleues
En début de match, le 4-2-3-1 se transforme en 4-5-1. Thiney et Le Sommer, ailières du jour, viennent prêter main forte aux latérales bloquant au maximum la vitesse et les montées des Allemandes. Louisa Nécib joue ainsi en 8, un poil plus haute que ses deux milieux défensives. Ce pressing en zone permet aux Allemandes de mettre en jeu leur place.
Kulig, très en vue en ce début de partie, joue l’intermédiaire entre la défense et l’attaque. Capable de défendre, mais aussi d’organiser le jeu, l’Allemande dézone afin d’écarter ou chercher Okoyino Da Mbabi. Elle joue le rôle d’essuie-glace se rapprochant d’une Louisa Nécib en beaucoup plus défensive, cherchant la simplicité et la meilleure passe. Or, l’attaquante puissante de la Mannschaft, MBabi, est aussi une clé du match. Durant tout le match, elle servira de pivot soit pour Kessler apportant le danger ou pour les ailières allemandes obliger de dézoner afin d’apporter de la vitesse au jeu.
Lescoéquipières de Bartusiak passent ainsi en 4-4-2 en phase offensive. Les joueuses d’outre-Rhin cherchent la profondeur et les diagonales. Avec Kulig et Kessler capables de faire l’essuie-glace pour les ailières, les allemandes à partir des 30m cherchent les petites combinaisons. Travailler à l’entraînement, les unes deux s’enchaînent pour permettre à Faisst ou Mittag de se démarquer. Lorsque la Mannschaft ne trouve pas de solutions, le milieu de terrain est sauté et la profondeur recherchée. Les Allemandes ont étalé au fur et à mesure leur capacité à analyser le système défensif de l’adversaire. Avec un marquage perfectible, elles useront de leur qualité technique pour jouer en un minimum de touches de balle et perforer la défense française. Cette liberté dans le marquage va permettre aux Allemandes d’ouvrir la marque. Comment ? Dans le dos de l’arrière-garde des Bleues. Comme prévu.
Le pressing défensif français, l’une des clés de la rencontre
Pour répondre à l’ouverture du score, les Bleues ont changé leur plan. Outre Nécib prenant le jeu à son compte, Bini et les filles ont rapidement évalué la dangerosité du jeu allemand. Au bout d’une vingtaine de minutes, le match va basculer en faveur des Bleues. Pour quelle raison ? Le pressing.
D’abord reculée, Louisa Necib va monter d’un cran au niveau défensif. Pour bloquer un milieu allemand dont les lignes ne cessent de s’étirer, le 4-5-1 défensif va évoluer au fil du temps en 4-4-2. Avec cette nouvelle mise en place, l’Allemagne va perdre en intensité au milieu jusqu’à la mi-temps. L’arrière garde n’arrive plus à se dégager et Kulig ne peut plus décrocher afin d’organiser le jeu. L’Allemagne n’arrive pas à jongler entre le jeu offensif et défensif. En attaque, les joueuses de Neid sont souvent 4 dans le même périmètre afin de combiner offrant trop d’espaces dans leur dos. Les Bleues l’ont bien compris
Louisa Nécib va se montrer à son avantage. Sachant que Camille Abily et Sandrine Soubeyrand n’apportent pas offensivement durant le match, la Lyonnaise va presser puis décrocher afin d’organiser le jeu. Durant les 20 premières minutes, les Bleues ne vont pas trouver de solutions dans l’axe mais aussi sur les ailes. Le pressing allemand (toujours 2 ou 3 sur la porteuse de balle) oblige ainsi l’arrière garde et les milieux défensives d’allonger le jeu pour Marie-Laure Delie toujours très remuante aux avant-postes. Mais dès que Louisa va grimper d’un cran pour presser, les Bleues vont ainsi devenir les maitres du jeu. De plus, Soubeyrand ou Abily n’hésiteront pas à donner un coup de main.
Les 2ème et 3ème buts confirment la réflexion. Sur le deuxième but, l’erreur personnelle de la jeune gardienne rentre en compte. Or, le pressing des françaises est un modèle du genre. Les ailières bloquent très bien les latérales Allemandes. Delie et Nécib sont bien en place mettant la pression sur les deux défenseures centrales de la Mannschaft et Sandrine Soubeyrand suit à la trace Kulig, plaque tournante du jeu d’outre-Rhin. La gardienne n’a pas de solutions à part allonger le jeu. Chose qu’elle ne fait pas. Conséquence directe, but.
Des buts certes mais un jeu offensif bien maigre
Les Françaises ont marqué 3 buts, mais les occasions n’ont pas été fleuves. Lisant mes chroniques tactiques … ou plus simplement observant le jeu des Françaises, les Allemandes ont bien bloqué les Bleues. Comment ?
Le jeu français passe souvent dans l’axe. Avant de chercher les ailières ou les latérales, les ballons passent par Bussaglia (blessée ici) et Louisa Nécib. Or en 1ère mais surtout 2nd période, les Bleues n’ont pas pu mettre en place leur jeu offensif. Conscientes du danger, les Allemandes passaient d’un 4-4-2 à un 4-5-1 en phase défensive. Les ailières de la Mannschaft bloquent le jeu latéral des filles de Bruno Bini. Mais la différence se fait réellement au milieu de terrain. Les 3 (Kulig, Kessler, Marozsan) milieux axiales se déplacent en « groupe ». Marozsan joue le rôle d’essuie-glace et vient renforcer le pressing sur les ailes. Tout au long du match, les Bleues se feront manger par ce milieu solide et athlétique. La sortie de Kulig à la mi-temps ne changera pas la donne. Les Françaises devront trouver d’autres solutions pour l’Euro 2013.
Doublé à la Meinau : "J'aurai préféré marquer pour gagner"
France 3 - 3 Allemagne à Strasbourg (foot féminin) par StrasTv
Louisa Necib : "Il est vrai qu'une fois de plus l'Allemagne inscrit un but en début de partie mais je pense que nous étions bien entrées dans cette rencontre. Nous avons fait une première période satisfaisante avec un score favorable à la pause ! Ensuite, nous avons peiné physiquement sur la deuxième mi-temps, notamment en fin de fin de match. Je crois que l'Allemagne a été piqué dans son orgueil sur le troisième but et elles ont bien poussé après. Le résultat final est décevant car nous gagnions 3-1 mais nous allons positiver en gardant en tête que ce n'est pas une défaite. (Sur ses buts) J'aurai préféré qu'ils permettent de gagner même si c'est toujours agréable de marquer... Surtout face à l'Allemagne !" Propos recueillis par Sandrine Dusang - plus d'infos footdelles.com
mercredi 13 février 2013
FRANCE 3 - 3 ALLEMAGNE
La soirée aurait pu être presque parfaite. Jamais la France n'avait inscrit trois buts à l'Allemagne et jamais la France n'avait été aussi proche d'une victoire face à la « meilleure équipe européenne ». Mais même malgré les deux cadeaux allemands, la France repart avec un nul de la Meinau. Les Bleues de Bini ont malgré tout montré qu'elles avaient le niveau face à ce genre d'équipes.
De Revel à Strasbourg : le jeu avant le je
Ecole de football féminin à Revel (Haute Garonne)
A Strasbourg
On l’a souvent, par facilité et par raccourci peut-être, comparée à Zinédine Zidane. « On est tous les deux de Marseille. On a la même origine algérienne, on a le même poste sur le terrain, dit Louisa Necib avant de sourire. Je ne me compare qu’à moi-même. On a tous un modèle, il était le mien comme pour beaucoup de footballeurs. »
Et elle, le football, elle va le découvrir de haut, depuis le balcon de l’appartement de ses parents dans le quartier de la Busserine exactement, dans le 14e arrondissement de Marseille.
« Je regardais les garçons jouer et, un jour, je suis descendue les rejoindre. À Marseille, surtout dans les quartiers Nord, il est naturel de taper dans un ballon. »
Longtemps, elle va se contenter d’être une footballeuse de rue, passant d’abord quelques années à être gymnaste. « Enfant, quand on me demandait ce que je rêvais de faire plus tard, je répondais que je ne savais pas. Plus tard, je ne pensais pas plus passer professionnelle. Ce que j’aime, c’est le jeu. Le reste est arrivé naturellement. »
Louisa Necib signera sa première licence à quatorze ans à l’US 14e (arrondissement), filera ensuite au Celtic Marseille, le temps de faire monter le club en D2. Et puis, il y aura le Centre National de Clairefontaine. Les choses s’accélèrent encore : Montpellier l’accueille une saison, Lyon la séduit ensuite. « J’y suis arrivée en 2007. Le président Aulas fait tout pour nous », précise la meneuse de jeu, qui accumule les titres nationaux (cinq d’affilée), européens (deux Ligues des champions de rang) et désormais mondial (face à l’INAC Kobe) avec l’autre Olympique. « On est toujours motivé. C’est bien de gagner les trophées, c’est plus difficile de les conserver. »
« Dur à digérer… »
Deux ans avant son arrivée à l’OL, à tout juste dix-huit ans, elle avait fêté la première de ses 91 sélections (17 buts) en Norvège. « Le maillot bleu est une fierté pour moi. » Et celle qui accumule les titres en club rêve de faire de même avec ses coéquipières, dont une flopée de Lyonnaises, après avoir terminé à la 4e place de la Coupe du monde 2011, puis des JO 2012 de Londres.
« L’an passé, c’était dur à digérer. Mais le foot est un jeu où rien n’est écrit d’avance. Il faut apprendre de nos erreurs, et rebondir. Il y a une attente légitime des gens qui nous suivent. On joue devant des tribunes pleines et ça fait plaisir. Et nous, on attend plus de nous-mêmes. »
Ce soir, la meneuse de 26 ans mènera le jeu « face à la meilleure équipe européenne », le regard déjà tourné vers le mois de juillet et l’Euro suédois.
par Jean-Christophe Pasqua
Prête à réchauffer le stade de la Meinau hihihi
Alors que la neige a déjà recouvert depuis quelques jours Strasbourg, les Bleues affrontent ce mercredi une équipe d'Allemagne, meilleure nation européenne, trois mois après un nul outre-Rhin
Les Bleues ont découvert la Meinau enneigée
Recouvertes d'une bâche, la pelouse du stade de la Meinau n'a pour le moment pas été foulé par les Bleues qui ont eu recours à des séances en salle. Ce n'est que ce mercredi que le terrain sera débâché pour laisser place aux 22 actrices françaises et allemandes. Si à l'aller, il ne faisait pas très chaud du côté de Leipzig, on ne peut pas dire que du côté français, la température soit beaucoup plus élevée ! Malgré cela, le stade devrait être bien garni ce mercredi soir pour cette première affiche de l'année 2013.
Lors du "match aller", les Bleues avaient tenu tête aux Allemandes (1-1), une première sur le sol allemand. Une performance que les protégées de Bruno Bini tenteront de confirmer à cinq mois de l'Euro 2013 en Suède. Mais la sélectionneuse allemande Silvia Neid déclarait ce mardi vouloir corriger les nombreuses erreurs du premier match et espère bien fait un meilleur résultat malgré la jeunesse de son équipe (24 ans contre 27 pour la France) même si ce match sera encore celui des essais des deux côtés. C'est d'ailleurs Almuth Schult qui gardera les cages allemandes.
Bruno Bini voit cette rencontre comme un très bon match de préparation face à l'une des meilleures nations du monde : "En préparation, soit tu joues pour te rassurer, soit pour engranger de l'expérience". Pour cet Euro où les Bleues espèrent aller le plus loin possible, c'est un programme difficile qui les attend. Le but est de combler ce manque d'expérience de matchs de très haut niveau. Le voisin allemand est le partenaire de jeu idéal.
Le rendez-vous s'annonce alléchant et on ne demande qu'aux Bleues de réchauffer l'ambiance !
Lors du "match aller", les Bleues avaient tenu tête aux Allemandes (1-1), une première sur le sol allemand. Une performance que les protégées de Bruno Bini tenteront de confirmer à cinq mois de l'Euro 2013 en Suède. Mais la sélectionneuse allemande Silvia Neid déclarait ce mardi vouloir corriger les nombreuses erreurs du premier match et espère bien fait un meilleur résultat malgré la jeunesse de son équipe (24 ans contre 27 pour la France) même si ce match sera encore celui des essais des deux côtés. C'est d'ailleurs Almuth Schult qui gardera les cages allemandes.
Bruno Bini voit cette rencontre comme un très bon match de préparation face à l'une des meilleures nations du monde : "En préparation, soit tu joues pour te rassurer, soit pour engranger de l'expérience". Pour cet Euro où les Bleues espèrent aller le plus loin possible, c'est un programme difficile qui les attend. Le but est de combler ce manque d'expérience de matchs de très haut niveau. Le voisin allemand est le partenaire de jeu idéal.
Le rendez-vous s'annonce alléchant et on ne demande qu'aux Bleues de réchauffer l'ambiance !
Mercredi 13 février 2013 - 18h30
FRANCE - ALLEMAGNE
Strasbourg (Stade de la Meinau)
Arbitres : Pernilla Larsson (Suède) assistée de Helen Karo (Suède) et Annica Johansson (Suède). 4e arbitre : Manuela Nicolosi (France)
En direct sur D8
LES MATCHES FACE A L'ALLEMAGNE
LA SELECTION FRANCAISE
FRANCE - ALLEMAGNE
Strasbourg (Stade de la Meinau)
Arbitres : Pernilla Larsson (Suède) assistée de Helen Karo (Suède) et Annica Johansson (Suède). 4e arbitre : Manuela Nicolosi (France)
En direct sur D8
LES MATCHES FACE A L'ALLEMAGNE
LA SELECTION FRANCAISE
mardi 12 février 2013
Inscription à :
Articles (Atom)